__________________ Les nombres naturels sont les premiers que l'on rencontre
(comme les jeunes enfants) avec le monde des mathématiques (en générale).
Plus préciséments, les nombres naturels (entier positifs)
constituent le premier cas d'une abstaction mathématique. Une étape
plutôt précoce dans notre développement, on fait le
pas pour accépter 'les nombres'comme une sorte d'entité.
Ceci en dépit le fait que l'on ne peut ni voir ni sentir les
nombres. Les nombres sont en queque sorte 'là'. Ils forment une
part signifiante et influente dans la vie de l'humanité.
Mais que sont les nombres entiers? Une réponse est qu'ils sont
des "objets intentionnels" des entités qui émergent par le
fait qu'elles sont individualisées par l'esprit intentionnel des
gens-- une construction de l'intellect humain. sans se préocuper
des questions philosophiques du style à quoi cette sorte d'existance
se réfère, c'est certainement à l'expérience
de tous les jours.
De simples observatons indiquent que les nombres sont communs à
pratiquement tout les membres de l'espèce, et ce concepte de tous
de, disons, 'deux'ou 'le nombre dix'est pour toutes les raisons pratique,
le même. Le mathématicien cherche une réponse différente,
une qui fournit aux nombres un statut objectif à l'intérieur
du rigoureu canevas des mathématiques. Il y a plusieures façons
de faire cela, le plus courant étant l'exemple suivant, qui assure
un ensemble de fondation théorique pur les mathématiques.
Deux ensembles d'objets, A et B, sont dit "équipolent" si il
y 'a une bijection f:
A <-> B qui met les éléments de A dans une correspondance
une à une avec les éléments de B,
si nous écrivons _ A = B _ pour noter que A et B sont
équipolents, alors la relation = entre deux ensembles et
une relation d'équivalence.
Pour tout ensemble, A, la collection _ [A] =
{
B | B = A } est appelé une classe d'équvalence
de A.
Utilisant les propriétés d'une relation d'équivalence,
c'est de la routine de démontrer que:
_(i) aucunes classes d'équivalences distinctes n'ont d'éléments
communs.
_ (ii) A = B si et seulement si A et B sont membres de la même classe
d'équivalence.
_ (iii) [A]=[B] si et seulement si A = B.
Les nombres naturels sont alors définis comme êtant la classe
d'équivalence des ensembles par la relation d'équivalence
de équipolence. Ainsi, par exemple, le nombre 3 est définit
comme étant la classe de tout les ensembles ayant trois éléments.
Cette façon de procéder est un peu confuse, puisque on
se réfère à 'trois'dans la définition du nombre
trois lui-même. L'histoire complète est un peu plus longue
à raconter. En bref, ce qui est fait pour définir (de façon
naturelle) un ensemble de classes d'équivalence totalement ordonné,
et pour définir les opérations d'"addition" et de "multiplication"
sur les couples de classes équivalentes, de façon à
ce que le système résultant ai toutes les propriétés
que nous associons généralement aux nombres naturels.
De fait, la définition mathématique des nombres naturels
est en quelque sorte sophistiqué. Mais aucun cas cela ne veut dir
qu'un petit enfant doive maitriser les bases de la théorie des ensembles
et des relations d'équivalences pour pouvoir compter et faire de
arithmétique élémentaire. Les nombres naturels et
leurs arithmétique émergent de façon très naturelle
grace à l'abstraction de notre expérience de tout les jours.
En tant qu'uniformités individualisées par l'esprit humain,
les nombres naturels sont assez basiques comme pour les entités
abstraites. C'est seulement que quelques éfforts sont nécéssaires
si l'on veut construire un modèle mathématique de ces nombres.
Le dernier paragraph peut sembler remuer ce qui est évident, mais
il est facile (et commun) de confondre les entités abstraites et
leur modèles mathématiques.
Les textes mathématiques comportent toujours des définitions
du style "Une relation est un ensemble de couples ordonnés, ou "Une
fonction est un ensemble ou des couples ordonnés tel que n'importe
quel première élément est couplé avec seulement
un second élément". L'érreur dans les deux cas est
ce mot "est".
Une relation est sûrement simplement ce que le mot veut dire
pour pratiquement tout le monde parlant francais, et de même pour
une fonction. Que ceux-ci doivent tout deux, être fait avec les ensembles
de couples ordonnés n'est pas contesté(par moi). En effet,
dans un traité sur la théorie d'ensemble on doit fournir
des définitions formelles des relations et des fonctions comme des
enembles de couples ordonnés.
Mais cela ne doit pas nous détourner de la nature fondamentale des
deux concèptes de relations et de fonction à l'intérieur
de la réalité de l'activité mentale humaine. De même
avec les nombres naturels. Ils apparaissent de façon plutôt
naturelle en tant qu'objets intentionnel du domaine humain. Que les mathématiques
soient capables de produir un modèle de théorie d'ensemble
de telles entités est une réflection sur le pouvoir des mathématiques.
La complexité structurelle qui émerge dans ce processus de
modélisation est la forme générale du modèle,
pas la chose qui est modélisée. Le système des nombre
rationnels peut être construit d'une façon très similaire
au nombres naturels. Soit le système des nombres naturels, ont peut
définir un nombre rationnel comme suit.
Deux couples ordonnés, , la totalitée
des nombres rationnels sont dit équivalents si et seulement si mq
= pn. Ceci donne une relation d'équivalence dans l'ensemble de tout
les couples ordonnés de nombres. Les classes d'équivalence
sont prises comme étant les nombres rationnels. Il est facile de
voir que les membres d'une classe d'équivalence quelconque sont
précisément les couples
Comme dans le cas des nombres naturels, l'histoire complète
implique une définition d'un ensemble de classes d'équivalence
totalement ordonné, et pour définir les opérations
d'"addition"et de"multiplication"sur les couples de classes équivalentes,
afin que le système résultant ai toutes les propriétés
que nous associons généralement aux nombres-rationnels-qua-
objets intebtionnels.
Mais une fois encore, il faut rappeler qu'il ya ici deux choses assez différentes.
Les nombres rationnels sont des objets abstraits dans la réalité
humaine, avec à la fois des aspects géométriques et
proportionnels-quantitatifs.
Ainsi leurs 'existance' n'a pas besoin d'une jolie construction théorique.
En fait, il y a un moyen élégant pour modéliser les
nombres rationnels à l'intérieur de la théorie d'ensemble,
et cette construction peut ajouter beaucoup de poids à la confiance
que nous avons vis à vis de notre compréhension des propriétés
profondes des nombres rationnels.
Mais encore une fois ce n'est pas la même chose que ce qui est
modélisé. La situation est aussi la même vis à
vis du système des nombre réels. Mais notez que les nombres
réels représentent un pas de plus dans l'abstraction. Les
nombres naturels et rationnels émergent de manière naturelle
comme partie du processus d'indivisualisation du monde.
Les nombres réels, eux résultent purement des considérations
des mathématiciens sur la continuité, par le remplissage
infinit des petitstrous des npmbres rationnels, un processus connu sous
le nom de complétion. Quoi qu'il en soit de leurs haut niveau d'abstraction,
les nombres réels semblent suffisament intuitifs pour la majorité
des étudiants de curcus supérieur pour qu'ils se sentent
parfaitement familiés avec.
Il y a deux façon populaire de construir les nombres réels
dans la théorie des ensembles. L'une prend les nombres réels
comme étant des classes d'équivalence de certains couples
d'ensemble infini de nombres rationnels, dite de 'Dedkind cuts'. L'autre
prenant les nombres réels pour des classes d'équivalences
de certaines séquence infinie de nombres rationnels, dite 'séquences
de Cauchy'.
La chose à notez ici est que elles sont deux constructions différentes
'définition'des nombres réels. De temps en temps un livre
donnera les deux définitions. Mais alors qu'elle est la bonne? Est
ce que les nombres réels sont des classes d'équivalence de
certains couples d'ensemble infini de nombres rationnels ou alors des classes
d'équivalences de certaines séquence infinies de nombres
rationnels? La réponse devrait être Déjà évidente
(bien que non en lisant la majorité des livres).
Les nombres réels sont les nombres réels, objets abstraits
crés par l'esprit humain. Leur existances est utile et leur propriétés
valent la peine d'êtres étudiés parceque elles font
partie des objets courants des objets abstraits du monde de l'homme, plutôt
que juste des fabrications arbitraire d'un seul esprit. Ces objets abstraits
peuvent êtres modélisés par les mathématiques
de au moins deux façons distinctes.
Aucunes de ces approches ne débouchent sur un 'nombre réel
pure', sachant que dans les investigations mathématiques il est
toujours utile d'adopter une de ces constructions comme 'définition
formelle'des nombres réels. Les nombres complèxes vont encore
plus loin dans la réalité de l'abstrait, en cela pour la
plus part des gens ils n'ont pas d'existencce'en dehors des maths. Et de
plus la terminologie reflète ce fait. Les nombres réels sont
réels, alors que les complèxes sont une combinaison des nombres
réels et imaginaires, nombres qui impliquent la racine carré
de 1.
La construction mathématique standart des nombres complèxes
sont les couples ordonnées de nombres réels, et est mathématiquement
la plus simple des construcyions mathématiques variées. Mais
avec la plus grande simplicité des maths, le pas à faire
pour passer des nombres réels au complèxes est celui qui
cause le plus de difficultées. Les nombres complèxes ne sont
pas réels est la réponse de la plus part des étudiants.
Cela n'est pas à cause de la difficulté ou de la sophistication
des maths requise pour modéliser ces deux systèmes de nombres.
En éffets, les nombres réels sont difficiles à représenter,
alors que les complèxes peuvent être modélisé
de façons triviale.
En fait, c'est plutôt que le pas des nombres réels aux
complèxes est un simple pas du monde des objets abstraits communs
à une grande section du genre humain, au monde des objets abstraits
commun seulement aux scientifiques entrainés. Une remarque finale.
Il me vient juste à l'esprit que je n'ai pas fait la mention explicite
du fait que, pendant la discussion précédante en fait j'ai
pensé d'abord aux nombres positifs. Le pas à franchir pour
passer des nombres positifs entiers aux autres nombres entiers et aux nombres
positifs réels à tout les nombres rationnels n' implique
rien de plus qu'une petite ridule dans le procéssus de modélisation.
Cela ne provoque que difficilement une pose pour respirer au mathématiciens
pendant la construction. Les nombres négatifs éatient, par
contre, ontologiquement problématiques, même pour les grands
mathéamticiens.
Les mathématiciens Européens de la Renaissance s'accommodaient
de la tradition Grecque qui autorisait les signes négatifs dans
leur arithmétique, ils ne reconnaissaient pas les 'nombres négatifs'comme
tels, et qualifiaient les 'solutions négatives'des équations
de 'racines fictives'.
Au 17ème siècle, René Descartes qualifiait les
racines négatives de 'fausse racines'et Blaise Pascal pesait aussi
qu'il n y existait pas de choses comme les nombres négatifs.
Bien sûre, c'est seulement le 18ème siècle, avec
la généraliastion de l'approche axiomatique des mathématiques,
que l'idée qu'il y'est des 'nombres négatifs's'imposa au
plus grand nombre.
Donc avec les nombres négatifs on a un exemple clair du concèpte
mathématique précédant l'introduction de cet objet
dans le mondes des objets abstraits humain. A ce point il est temps de
retourner notre attention vers les infons.