2.3 Shéma d'individualisation

___________________Ayant retracé les considération qui à la fois motivent et guident le développement d'une théorie mathématique des flux d'information proposés, le pas suivant est d'essayer de donner de la substance aux sortes d'applications qui déboucheront de telles études.
Comme premier pas, nous avons besoins d'avoir à notre disposition quelques outils standarts définis de façons formelles pour représenter l'information conceptuel. Un moyen qui devrait bien correspondre à ce que nous sentons est en fait impliqué dans l'aquisition, le stockage et la manipulation de l'information par un agent (et qui est dans le même temps peut déboucher vers une étude ou un dévloppement mathématique précis).
                   Dans ce chapitre et le suivant, je menerais ce débat d'une manière relativement naive, en simplifiant tout le long des présemptions. Ensuite, notre étude progréssant, nous devrions faire des conclusions qui remèterons en cause ces premières présemptions.
Considérons un agent A, qui a des capacités cognitives sophistiquées, nomé l'Homme. Ensuite, nous considérons le cas d'agents plus simples. Comme l'Homme se balade dans le monde, il doit extraire l'information de son Environnement, puis il fait la conversion digitale percue comme décrite précédament. De quelles capacitées cognitives à t'il besoins dans cette optique?
L'une des plus importantes (et fondamentale) des capacités cognitives de l'homme, est la capacité à individualisation des "objets", cést à dire, de voir des objets comme des objets. par exemple, quand vous voyez une table devant vous, vous la reconnaissez comme une table c'est à dire un objet unique, et non comme un gros amas de molécules ou un assemblage de bois, d'acier ou autre chose; quand je regarde l'écran de l'ordinateur en face de moi pendant que je tape ces mots, je regarde un objet unique, un terminal; et ainsi de suite Evidement cela ne veut pas dire que vous ou moi somme tous inconscient que ces objets individuels sont aussi tout un assemblage d'un tas d'autre objets plus petits. Pour vous, pendant le dinner, la table est un objet unique. Pour l'artisant qui l'a faite, les obgets uniques et singuliers qui comptent ne sont pas uniquement la table, mais aussi ces composantes variées, les pieds, le dessus, les vices qui tiennent les morceaux ensembles, et ainsi de suite. Et alors que je ne regarde mon micro que comme une unique et incompréhensible entité, je réalise que pour l'informaticien cela a une structure complexe est fascinante avec plein de composants.
         C'est, en grande partie par une question d'intêtrets de l' agent (et aussi d'une certaine facon d'échelle) qui détermine quelles parties du monde sont des objets uniques. Mais quelque soit la manière dont on coupe le gateau, il semble claire que dans le but de faire son chemin dans le monde un agent cognitif comme l'Homme, use constament de sa falculté à individualiser les objets.
        La notion d'individualisation apparaîtra souvant dans mon exposé, ceci étant la façon dont l'agent va diviser le monde. Mais pour une grande partie de ce qui nous concernes, la notion moins restrictive de discrimination s'avère plus approprié. Pour expliquer ce que cela veut dire, considérons mon chien Sam. Suite à l'observation de l'attitude de Sam, il semble résonable d'affirmer qu'il a quelques capacités d'individualistion: par exemple il semble individualiser les balles, les batons, deux chats, sa gamelle , et plein d'autres objets. Beaucoup moins claire est si il individualise notre maison ou les bois d'à coté. Déja son attitude varie systématiquement selon qu'il soit dans la maison, dans le jardin, ou dans les bois. Tous cela pour dire qu'il fait une discrimination entre la maison, le jardin, et le bois.
Ceci en décrivant l'attitude cognitive du chien, il semble capable de classifier ses actions en terme de la maison, le jardin et les bois, mais pour l'instant il n y a pas de raisons pour supposer qu'il individualise ces objets dde la même manière qu'il le fait avec la balle, le baton, et le chat ou son bol d'eau. Il y a éffectivement un acte d'individualisation en allant ici ou là: nous agissons comme des théoriciens qui étudient l'attitude du chien individualisant la maison, le jardin, le bois... etc.
         Notre théorie peut traiter ceci comme des entités singulières. Mais il ne semble pas y avoir de raison pour affirmer que l'agent Sam ait de pareilles capacitées. Les entités qui sont individualisées (par l'agent ou le théoricient) comme "objets", vont êtres référencés comme individuelles,et notés a, b, c...
Notre théorie prend ces individus comme donnés. C'est à dire, parmis les objets traités par la théorie ils sont individuels. Un développement mathématique formel porrait vouloir modéliser ces individus par le moyen d'objets mathématiques d'une forme ou d'une autre.
Exactement quel objet mathématique choisir pour cette discussion là, n'a pas d'importance. Par exemple, toute collection d'"ensembles pures" porraient représenter les "individualisés". Où les "individualisés" formel pourraient être pris comme une collection de (non analysé) unitées de base ou atomes qui forment le niveau de base de la théorie des ensembles.
Cette direction ne sera à propos que lorsque on en viendra à travailler avec la modélisation mathématique de notre théorie. Pour l'instant, dans ce développement les individus sont juste ça : individualisés, soit par l'argent ou le théoricien.
             On remarquera que l'individualisation des individus ne suppose absolument pas qu'ils soient des entités atomiques, incapapbles de subdivisions à l'intérieur du shéma de l'individualisation. Ainsi la table et l'ordinateur de toute à l'heure sont des individus qui ont d'autres individus comme composants. En plus de la capacité d'individualisation des individus, un agent tel que l'homme sera capable de voir si des propriétées variées collent ou non à certains individus, et que cetaines relations marchent ou non entre deux individus. J'utiliserais P,Q,R,. .. pour noter les propriétés ou les relations que les agents reconnaissent ou discriminent. Quelles propriétés et quelles relations, cela est determiné par l'agent ou la sorte d'agent.
               Ceci n'est pas un problème qui affectera beaucoup notre développement de notre calcul du flot des informations. Je présumerais que chaque propriété ou relation a un nombre finit et fixe d'arguments qui seraient remplis par des objets d'un type approprié (le problème du type approprié sera développé quand on abordera la nature des propriétés et des relations).
Encore une fois, un développement mathématique formel devrait nécéssiter que ces propriétés et relations soient modélisées par certains arrangements.
Cela n'étant pas nécéssairement des propriétés et des relations dans le sens d'arrangement théorique, mais ils devraient êtres distincts des objets utilisés pour modéliser l'individus.
La notion d'information que j'adopterais dans notre étude est:
                                                          les objets a1, a2,. ...., an rentrent ils dans la relation P?
Ici P est une sorte de propriété dans l'ensemble des entités présuposé par la théorie (ontologie) qui applique à n ou plus d'une sorte d'objet, et a1, a2, ...an sont des objets de l'ontologie appropriés aux places des arguments de la relation P.
L'identification des objets a1, a2...an n'est pas définie comme appartenant à l'information.
        Ceci pou dire que l'information est prise comme une forme conceptuel "itémizée'et chaque unité d'information est approprié à certains objets donnés.
         Si P est une relation n-placé et a1, a2, ...an des objets appropriés pour les places respectives des arguments de P, alors je devrais ecrire << P, a1, a2 ... an, 1>> pour noter que les unités d'information a1... entre dans la relation P.
         Et << P, a1, a2 ... an, 0>> pour noter que les unités d'information a1... n'entrent pas dans la relation P.

Notez que ces objets représentent l'unité d'information de base de notre théorie, j'adopte le mot infon pour noter un obget de la forme : << P, a1, a2 ... an, i>> Où P est une relation n-place, a1,a2..an des objets appropriés pour les places respectives des arguments de P, et i est égale à 1 ou 0.
                La notion et le nom sont prévus pour souligner que les infons sont des obgets s\351mantiques, et non des représentations syntaxiques. La "valeure de vérité" est appelée "polarité de l'infon". Dans la terminologie de Dretske, infon est la forme digitale de l'information. Un infon qui correspond à la manière dont les choses sont éffectivement dans le monde est appelé: fait. Plus sur le sujet par la suite.
              Encore une fois, pour la mise en place d'un développement théorique, la sorte d'objet pris pour mètre en place ce développement théorique représentant les infons n'a pas d' importance. La notion utilisée est suggestive d'un multiple (n+2) ordoné ((n+2)tuple) pour un infon qui implique un prédicat n-place, avec l'utilisation des double inf et sup comme une simple notation pour souligner l'utilisation d'un infon (le ntuple est facultatif). exemple d'infons:
                                       <> <> où L est la relation inférieure et S supérieure.
        Ces deux infons sont évidement des faits, ils donnent des informations à propos des nombres.
Notez aussi que chaque infons ne donnent qu'une seule unité d'info à propos des nombres impliqués(Infon Digitale).
Observez aussi que cet exemple indique que les "individus"individualisés par l'agent Humain, peut inclure une une entitée très abstraite comme les nombres. Un fait à noter à propos des deux exemples données est qu'il sont mathématiques.
Mais cet exemple et loin d'être typique de notre étude des flux d'infos. Contrairement à tous les autres domaines les maths ont une nature intemporelle et universelle. La majorité des faits ne sont appropriés que dans certaines régions de l'espace et du temps. Dans le but de traiter ce genre de faits, j'ai besoins d'introduir à la fois la dimension temporelle et spaciale et de permètre à ces dimensions de figurer dans les arguments de la relation.                     Les dimensions spaciales seront notées l,l',l'',l0,l1, .... etc. Elles ne sont pas nécéssairement comme les points de l'espace géométrique, mais elles le peuvent, les dimensions spaciales peuvent avoir des extentions spaciales. Ainsi une dimension l peut être soit un point soit une région de l'espace. Cela englobe, bien sûre toutes les collections de toutes les dimensions avec une structure plutôt complexe: une dimension peut être un point à l'intérieur d'un autre, deux régions peuvent se rejoindrent dans l'espace, et ainsi de suite. Cette structure va clairement jouer un rôle significatif dans toute théorie de flux de l'information.
                   La dimension temporelle sera noté par t,t',to....etc. Comme avec les dimensions spaciales, la dimension temporelle peut être un point dans le temps ou une région du temps. Et une fois de plus les dimensions temporelle viennent avec une structure complexe qui les relit de facons diverses.
Comme exemple d'infon impliquant la dimension temporelle:
                                    <> Ceci nous informe que Carole et Bob sont mariés au temps t
(on présume dans ce cas que t est une durée, rappelez-vous que chaque relation a des places précises pour chaque argument, chacunes étant complétées avec des objets d'un type précis).
           Comme exemple d'infon impliquant les dimension spaciales et temporelle :
                                   <> où l = mairie et t' la date de mariage Parceque la relation d'une location temporelle précédant l'autre est trop commune, j'introduis un notation spéciale pour elle, j'ecris t> l=USA; t=[1800-1989]; propriété = relation légale. Se réfère à la lois Américaine.
                   L'introduction des dimensions spaciaux_teporelles amène un sujet qui pourra être important dans les applications de notre théorie, à la fois dans la concéption et la construction de produits informatiques ou dans le domaine du langage naturel en sémantique.
J'ai supposé que l'activité cognitive d'un agent de type Humain dépend du fait que l'agent était équipé de la capacité d'individualiser diverses sortes d'uniformitées dans le monde, parmis elles l'individus et les relations que nous avons énoncés.
Mais est ce qu'un tel agent a un besoin équivalent d'individualiser dans les domaines spaciaux et les domaines temporels? Certainement, en particulié pour l'homme,il a cet abilité à individualiser cette sorte d'uniformité, mais pour l'instant ce n'est pas le problème.
La question qui se pose est est ce que l'activité cognitive de l'homme nécéssite une telle individualisation comme elle nécéssite l'individualisation des individus et des relations? Et ici il semble que cela ne soit pas toujours nécéssaire. En faite, pour beaucoup de ces problèmes, tout ce qui est demandé est que l'attitude de l'homme soit discriminatoire du temps et de l'espace pour témoigner du fait que la majorité des relations diverses qu'il individualise sont à la fois spaciales et temporelles.
            Une telle dépendance à être discriminatoire du temps et de l'espace est considérablement moins importante que de d'individualiser les dimensions spaciaux temporelles. Mais, comme th´eoricien disséquant pour l'étudier l'attitude cognitive d'un agent tel que de l'homme, de facon à prendre en compte la dépendance au temps et à l'espace des relations diverses qui émergent.
Nous avons besoin aussi que les dimensions spaciales et temporelles est un statut ontologique similaire (dans la théorie) pour les uniformités individualisées par l'agents, les individus, les relations et les qu'est-ce-que-tu-as; de ce faite, ces entités font parties de notre étude ontologique.
            Mais notez qu'en permetant à ces dimensions à figurer comme argument dans les relations de bases de notre ontologie, nous sommes ou du moins on pourrait passer d'une relation-tel-que-individualisé-par-l'agent à une extention "there-of" du théoricien.
Dans le cas où l'agent est capable d'individualiser des dimensions spaciales et temporelles, il ce peut que les loctions spaciaux-temporelles de notre soient indentiques à celles de l'agent. Mais ce n'est généralement pas le cas. Par exemple, il est toujours pratique d'utiliser des points du teemps et de l'espace, mais aucun agent n'est capable d'individualiser de telles dimensions théorique.
Ce qui est usuel, est que les dimensions spaciaux-temporelles dans la théorie ontologique doivent êtres appropriées pour l'étude de cet agent. Par exemple, dans l'étude de la communication humain-humain des unités temporelles de plusieures millions d'années ou de millièmes de seconde ne seront pas très utiles.
              En faite, les dimensions spaciaux temporelles doivent correspondre avec l'activité discriminatoire de l'espace et du temps de l'agent. Ainsi, sachant qu'elles ne seront peut être pas individualisées par l'agent, ces dimensions utiliées dans notre étude vont dépendre absolument de la sorte d'agent dont il s'agit. Cette dépendance à l'agent elles l'a partagent avec les uniformitées individualisées par l'agent(individus, relation, ....).
              Ce qui a été dit dans le cas de l'agent tel que l'Homme, reste vrai même pour des agents beaucoup moins sophistiqués, tel que les animaux primitifs ou des robots simples. Un agent non sophistiqué pourrait avoir quelques capacitées d'individualisations rudimentaires, mais l'étude d'un tel agent demande une ontologie d'individus, de relations et autre assez importante.
Par exemple, dans l'industrie d'aujourd'hui, mettre un parbrise est fait en générale par le moyen d'un robot. Cette machine prend le parbrise d'une place convenable, l'oriente correctement, met le matériel de fixage où il faut, et installe le parbrise sur la voiture quand elle passe sur le tapis de transit. pour accomplir cette performance, un tel robot n'a pas besoin d'individualiser la voiture ou le parbrise. Généralement, il prend et oriente le parbrise à l'aide d'une camera qui trouve une particularité du parbrise, un coin ou une marque fait exprès, et emboite simplement cela dans un cadre de voiture qu'il suppose être comme la bonne place. C'est à dire que le robot est fait pour positionner le parbrise correctement orienté et le fixer dans une certaine place et appliquer une préssion un certain temps. La ligne de convoit est organisée de façon à ce que les voitures arrivant soient toujours dans la bonne position au bon moment. Si quelque chose allait de travers, et qu'il manquait la voiture,alors le robot posera simplement le parbrise dans le vide, et celui-cise brisera par terre. Clairement, la seule chose qu'un tel engin serait sensé individualiser est cette position du parbrise qu'il est sensé prendre (certain y verrons une utilisation très généreuse du terme individualiser). Il n'individualise absolument pas la voiture. Peu importe, que ce soit dans l'étude ou la fabrication de cet engin, nous en tant que théoricien ou que fabriquant, nous traitons le parbrise et la voiture comme deux vrais bons individus.
               Un tel shéma d'individualisation sera determiner par un agent particulié ou plus communément, tout au long de cette étude on considérera le cas explicite d'une espèce d'agent.
En faite, il n'aura pas un seul mais deux shémas d'individualisation reliés associés à tout agent (ou espèce d'agent) , qui seront utilent pour nous.
                Premièrement il y a ce que je qualifirait de shémas d'agents. Ceuxci divisant le monde en ces uniformitées que du pt de vuedes théoriciens, l'agent soit individualise ou au moins discrimine.
               Deuxièment, il y a ce que je qualifirait de shéma du théoricien, une extention du shéma d'agent qui fournira pour une ontologie mathématiquement idéale appropriée à l'étude objective d'une activité de développement de l'agent.
par exemple, il est souvant très pratique d'étudier l'attitude de l'agent en terme de points de référence du temps et de l'espace idéalisés, bien sûr, les maths le font tout le temps.
Dans ce cas, ces uniformités idéales sont fournies par le shéma du théoricien. Enfin, aucun agents n'étant capable d'individualiser des points du temps ou de l'espace, pas plus que de ce conduire en discriminant de telles entitées, ceci ne sera pas pris encompte par le shéma d'agent.
Comme cela devrait être assez claire dans ma nomenclature, pratiquement tout le développement sera mené à bien en utilisant le shéma du théoricien de l'individualisation, et en général, quand je fais référance au shéma d'individualisation sans autres qualificatifs, c'est du shéma du théoricien dont je parle.
Mais dans certaines occasions il peut être aventageux de considérer les deux shémas d'individualisation à la fois. Par exemple,l'examen du shéma d'agent d'individualistion du point de vue du shéma du théoricien, pourrait expliquer pourquoi l'agent réussit ou non divers problèmes.
              Il faut mèttre en avant que mon utilisation du terme shéma d'agent ne fait pour impliquer que ce shéma représente réelement comment l'agent distingue le monde (en cela cela n'est pas le shéam utilisé par l'agent que veut dire shéma d'agent).
Et puis enfin, généralement comment pourrions nous savoir de quelle façon un agent particulié voit le monde? Peut être dans le cas de l'agent homme on peut, alors dans ce cas le shéma d'agent de notre théorie pourrait bien être le même que le shéma que nous utilisons vraiment en tant qu'agent dans le monde. De la même manière dans le cas de frabrication faite par l'homme, où nous pensons et construisons les entrées variées et les mécanismes de fonctionnement, nous pourrions avoir quelques pénétrations dans les connections entre la façon dont la fabrication découpe le monde (si la fabrication est telles que pour cette notion d'être tout à fait sensée) et le shéma d'agent que notre théorie adopte dans le but d'étudier cet agent.
Mais dans tout les autres cas, le shéma d'agent au mieux fournit un assignement de théoricien d'un shéma de cet agent. Cela pourrait être la façon dont l'agent individualise effectivement le monde, c'est assez différent du shéma d'agent que nous avons introduit dans le but d'étudier cet agent (on aurrait en fait un troisième shéma d'individuation qui se dessine: le shéma d'individualisation que l'agent utilise effectivement.
Mais comme je viens juste de l'indiquer, en générale nous n'avons pas accés à ce shéma, et donc il n'aura aucun rôle dans cette étude).
L'utilisation du mot 'shéma'dans la phrase 'shéma d'individuation'est sensée souligner le fait qu'il n'est pas dit que les entités de notre ontologie sont restraintes à êtres dans l'environnement immédiat de l'agent, ou touché par l'agent par n' importe quel moyen, que ce soit conceptuelement ou par la perception. Plutôt, en parlant d'un shéma d'individualisation correspondant à quelques agents particuliés, nous concevons une ontologie qui n'est d'aucune façon restreinte à quelques région de l'espace ou du temps.
Par exemple, cela fait partit de notre capacité cognitives-perceptuelles d'individualiser les étoiles comme des individus.
             Donc, notre propre shéma d'individualisation d'agent (homme) admet les 'etoiles dans l'ontologie (comme individuelles). Cette ontologie porrait inclure un bon nombre d'étoiles qui n'ont jamais ou ne serontjamais, ni vues ou detectées ou même imaginées par aucun homme. Peut importe, leures présences dans l'ontologie, c'est à dire le fait qu'elles soient individualisées, est une conséquence directe du fait qu'elles ont étées dinstiguées par le shéma d' individualisation qui détermine nos capacités d'individualisations propres. Une illustration plus parlante possible de ce que représente le mot shéma dans l'expréssion 'shéma d'individualisation' peut être obtenue en considérant les capacitées d'individualisation d'un agent particulié.
                Représentez vous le mecanisme d'indiv. d'agent comme consistant en une famille de quadrillages à travers lesquelles l'agent peut voir un monde qui autrement serait indiscernable. Ce quadrillage prend(ou détremine) les individus, relations, locations, etc... cela constitue l'ontologie de notre théorie(pour cet agent). Seules les partie du monde ayant la taille et la forme appropriées pour êtres prises seront qualifié d'entrées de l'ontologie. Passer des capacitées réelles d'indiv. de l'agent au shéma d'indiv. correspondant est alors équivalent à imaginer l'extention infinie de toutes les directions de chacunes de ces grilles de cette famille. Ceci étant, nous sommes tout à fait libre quand à l'étendu de ces entitées que notre shéma d'indiv. permet dans notre ontology. Quoi qu'il en soit, elles sont, dans un sens très précis, relatives à l'agent:
               Ainsi elles seront peut être en fait bien en dehors des domaines de perception ou de concéptualisation de n'importe quel agent de cet sorte, ce qui compte en tant que individus, relation, place... etc dépend bien de l'agent.
            En résumé, deux shémas sont associés à un agent: le shéma d'agent et le shéma du théoricien.
Le premier donne ce que l'on peut voir comme la concéptualisation par le théoricien de la manière dont l'agent dégrossi, sculpte, divise, analyse, le monde;
Le dernier est une extention idéalsée du shémad'agent fait dans le but de faciliter une étude mathématique plus sophistiquée.
Dans le cas d'agents bien simples, où le shéma d'agent donne une ontologie bien pauvre, la distinction entre les deux shémas pourra sembler évidente et couler de source(l'étude de simple outils mécaniques peut aboutir à des concepts théoriques sophistiqués).
Dans le cas où l'agent est l'homme, la distinction peut être moins claire, mais quoi qu'il en soit, il se présente souvant, se manifestant de lui même à travers des entités telles que le point de position dans l'espace et le temps, qui sont prise dans le shéma du théoricien mais absente de celui de l'agent.
En générale, notre développement est mené à bien en utilisant le shéma du théoricien.
           Finalement, je remarque que en tant que théoricien essayant de comprendre l'attitude d'un agent particulié, on impose sur le monde un shéma d'agent particulié d'indiv. que nous jugeons approprié à cet agent. Mais, bien sûre, cet acte précis d'imposer un shéma est un acte cognitif accomplit par un certain agent, nomément nous-même, et par conséquence il est définitivement lié à nos propres capacitées d'indiv.
De plus, alors que notre regard comme en math est toujours celui de l'observateur privilègié (dit "vue de l'oeil divin") , ceci est éssentiellement un problème de positon non de fait.
Etant donné que ce problème n'est pas un de ceux qui affecte le mécanisme de notre étude, je pense qu'il est sans intérêts de souligner ce point en métant entre guillemets le passage suivant de Searle[24):6 Je ne dis pas que le langage crait la réalité. Loin de là. Plutôt, je dirais que ce qui compte comme réalité
                                    -- cequi compte comme verres d'eau ou un livre ou une table --
est une question de catégorie que nous imposons au monde... Et de plus, quand nous faisons l'expérience du monde, nous l'expérimentons à travers des categories qui nous aident à mettre en forme les expériences elles mêmes.
            Le monde ne nous arrive pas tout prêt et empacté dans des objets et des expériences: ce qui compte en tant qu'objet est déja une fonction de notre système de représentation, et comment nous percevons le monde dans nos expérience est influencé par notre système de représentation.
L'érreur est de supposer que l'application du langage au monde consiste à mettre des étiquettes à des objets qui sont "auto-identifiant" . De mon point de vue, le monde se divise de la manière dont nous le divisons... Notre concépte de la réalité est le problème de nos catégories(linguistiques).