_______________ Jusqu'ici notre théorie à impliqué
deux nouvelles sortes d' objets: les situations(réelles) et les
infons. La nature de la situation a Déjà été
discuté: elles sont des parties structurées de la réalité
que l'agent discrimine, voir même individualise.
(i) E relit chaque élément de A à lui même,
i.e. aEa pour tout élément de A.
Un exemple classique de la relation d'équivalence est l'égalité
(=).
Mais que sont les infons? Le nom nous suggère un parallèle
avec les particules fondamentales de la phisique les electrons, les protons,
les neutrons, les photons, (la gravitation?), et ainsi de suite. Cela été
un choix délibéré de ma part, dans le but le souligner
l'importance que j'attache à approcher l'étude de l'information
comme une science empirique.
Mais cela ne veut pas dire que je vois les infons comme des entités
qui auraient une existance physique. Pas plus que je n'ai l'intention d'étudier
le flux d'information comme le mouvement de particules d'information dans
une sorte de 'champ informationnel'.
En faite, je suivrait une longue tradition en mathématique,
d'introduction d'une collection d'objets abstraits avec lesquels raisonner.
Les mathématiciens travaillent avec beaucoups de sorte d'objets
abstraits: nmobres naturels, rationnels, réels, imaginaires, les
groupes, les cercles, domaines de def., espaces topologiques, métriques,
géométriques ...etc.
Aucuns d'eux n'a d'existance physique, mais tous jouent un rôle
prépondérant dans les mathématiques. L'ambition présente
est de construire une théorie mathématique de l'information.
Les Mathématiques utilisent des objets mathématiques. Une
ontologie définie est éssentielle pour le processus mentale
de la pluparts, sinon de tout les mathématiciens. Les objets avec
lesquels ils travaillent doivent posséder une existance à
l'intérieur de la réalté des mathématiques.
Cela peut ou non avoir la même sorte d'existance que les particules
physiques -- cela ne nous regarde pas.
Ce qui nous regarde, cést que dans le but de développer une
théorie math. de l'information, il est nécéssaire
(pt vue pratique) d'avoir des 'objets d'inforamtion'définis disponibles.
D'un point de vue mathématique, un tel objet aura la même
sorte d''existance'que n'importe quel autre objet mathématique,
tels que nmobres naturels, rationnels, réels, imaginaires, les groupes,
les cercles, domaines de def., espaces topologiques, metriques, géométriques
...etc
Ce qui n'est pas comme certains pourraient le dir naivement " méttons
que ce soit des infons" et commence à développer une théorie.
Ils doivent répondre aux attentes qu'on a en tête. Exactement
de la même manière que les particules physiques sont cohérantes
avec l'observation du monde physique, et que le système mathématique
doit correspondre aux attentes qu'on en a dans le monde, de même
les "infons" doivent s'accorder avec notre image de la manière dont
l'information fluctue dans le monde cognitif.
Ceci est la manière dont je vois l'infon: artefactes d'une théorie
qui nous permet de mener notre étude. Ce n'est pas une question
de savoir si l'infon existe physiquement qui nous intéresses. Le
but recherché en utilisant infon est d'emplifier par analogie avec
la physique, le rôle fondamentale que joue cet objet abstrait dans
notre théorie en tant que élément d'information. Maintenant,
il est toujours possible de dicuster de l'existance des particules physiques.
Est-ce que elles existe
autrement que comme un artefact de nos théories du monde?
Cette question en est une profonde avec beaucoup de ramifications,
le dernier n'étant pas que veut- on dire par exister de toute manière?
Mai cette question n'affecte pas la façon dont les physiciens abordent
leurs travail. Penser au problème en terme de particules fournit
un canevas pratique dans le quel opérer, alors pourquoi pas? Jusqu'ici
cette approche à prouvé quelle était fructueuse, donc
il est logique de continuer dans cette voie j'usqu'a preuves du contraire(Même
si la théorie selon laquelle les protons étaient des particules
fondamentales est tombé avec les photons, le concèpte de
particules fondamentales reste, les particules deviennent juste plus petites).
Ayant opté pour une approche d'une théorie de l'information
qui prend l'information sous la forme d'"éléments" d'information,
comment allons nous faire pour fournir Le concèpte approprié
d'un "infon"?
Bien, donc jusqu'ici l'ontology que nous avons introduite reflète
la façon dont l'agent classifit le monde, soit pas une individuation
cognitive ou par une attitude discriminatoire.
En particulier, son attitude peut être affecté selon que
certains objet a1, ...an appartiennent à la relation P(P a >= n
arguments).
Ainsi une forme fondamentale de l'information aura un sens pour cet
agent sous la forme objets a1, ..., an a/n'a pas la propriété
P ce dont je fesais alusions à comme information conceptuelle. Ceci
est la forme de l'information considérée dans notre étude.
Cela s'accorde avec la théorie de Dretske de l'information et de
cognition[8], section 22.
Le pas suivant est d'introduir des objets math. appropriés pour
représenter de tels éléments d'information conceptuel.
Ceci est analogue à introduir les nobres réels pour permètre
a 2 d'avoir une racine carré, ou les nombres imaginaires pour fournir
des objets mathématiques qui donnent une racine carré aux
nombres négatifs. Afin de conclure sur ce sujet, nous devons d'abord
nous demander quels phénomènes du monde les objet proposés
sont destinés à correspondre à ou á représenter.
La première chose à observer est que l'information est "portée
par " ou elle "jaillie de" une représentation (par le biais de certaines
contraintes). Sans quelque formes de représentations, il ne peut
pas y avoir d'information.
Mais ça n'est pas seulement parceque il ne peut pas exister de l'information
sans la représentation, que la représentation est tout ce
qu'il y a
-- que l'information est en quelque sorte contenue dans ou est une
partie de la représentation.
L'information jaillie grace à ce que j'appèle
la contrainte, et elles sont séparées de la représentation
qui porte l'information. L'information a des réalisations physiques,
un motif d'encre sur papier, une configuration electro-chimique dans le
cervau, un motif optique ou magnetique sur un disque, une onde sonore dans
l'aire, ou plus généralement toute configuration d'objets
dans le monde.
La représentation peut donc être mesurée réellement
ou en principe avec des moyens physiques.
Mais à propos de l'information? Et bien, il n y á pas
de montant fixé de l'"information"qui soit representée par
une quelquoque configation d'aucun objet. Relative à différentes
contraintes, la même configuration peut encoder des informations
assez différentes, donc la quantité d'info. que je peux représenter
à partir d'une configuration particulière est en principe
infinie.
Mais que ce passerait - il si ont fixait des contraintes particulières?
Et bien cela aurait du sens de parler d'une information representée
par une configuration. Mais notez bien que l'information n'est pas l'information,
c'est quelquechose qui résulte de la combinaison de la representation
et de "la contrainte".
Comment une théorie math. se débrouille t'elle avec ce genre
de situation? Et bien, une approche possible serait de prendre le contenu
d'information d'une representation, R, relative à une contrainte,
C, qui serait (modélisé par) dans la pair ordonnée
(R,C ).
Mais ce n'est pas ce que nous recherchons car différentes representations
peuvent aboutir à la même information.
C'est à dire que l'on peut avoir R et R'distincts et C et C'distincts
tel que (R,C) et (R',C') dénote le même élément
d'information.
Par exemple, relatif à deux contrainte liguistiques différentes,
l'une appartenant à l'anglais, l'autre à l'allemand, l'existance
des deux phrases It is coldetEs
ist Kalt représente le même élément
d'information: il fait froid. Donc, il doit
aussi y'avoir du gel sur un morceau de fenêtre, ou l'on doit voir
la neige sur par terre. Maintenant, pour le mathématicien, ce genre
de situation n'est pas rare. Et pour cause, elle apparait tout le temps.
La pseudo identitée
Une relation d'équivalence est une relation deux places, soit
E, définit dans un ensemble A, d'objets, qui satisfont les trois
propriétés.
(ii) Si E relit a à b alors E relit b à a, i.e. aEb => bEa
pour tout a,b de A.
(iii) E est transitif, i.e. si aEb et bEc alors aEc.
Intuitivement, une reltion d'équivalence peut être comprise
comme une sorte de 'speudo indentité', une 'égalité
pauvre', une sorte d''égalité grossière'.
Maintenant, il y a une opération standart que vous pouvez éffectuer
sur une relation d'équivalence, c'est 'la factorisation'le passage
dans le second membre, et son résultat débouche sur la partition
de la collection originale en deux sous-collections connuent en tant que
'classes d'équivalences'.
Dans un moment, je donnerais un exemple qui devrait clarifier cette
notion, mais d'abord laissez moi vous indiquer le rapport que cela a avec
les infons. En factorisant la relation d'équivalence ~=, la pseudo-identité
entre deux paires de la forme
Mais ceci ne veut pas dire que loin d'êtres les éléments
basiques de l'inform. dont je les avaient califiées plutôt,
les infos seraient en fait des objets plutôt complexes qui incluraient
à la fois la représentation et la contrainte? la réponse
est "Non".
Dans le but d'expliquer pourquoi, et de fournir une explication plus
détaillé des infons, je devrais exposer, en bref, des situations
analogues en mathématiques clasiques.