_____________________ J'ai commencé dès le début
par affirmer que les agents découpent le monde d'une certaine façon
en individualisant cognitivement des uniformités variées
et en agissant de façon discriminative face aux uniformités.
Ces uniformités sont composées en particulier par les individus,
les relations, et les places spaciales et temporelles. Le flux d'information
est rendu possible par un raiseau de liens abstraits entre des uniformitées
d'ordre supérieure connuent en tant que "type".
Ainsi par exemple, si vous voyez de la fumée vous pouvez conclure
que il y a une sorte de feu, étant donné qu'il y a une contrainte
qui implique un lien systématique entre la situation où il
y a de la fumée et la situation où il y a du feu. Cette contrainte
n'est pas particulière à un cas particulier où il
y a de la fumée et du feu, mais s'obtiens de façon générale:
si jamais il y a de la fumée il y a du feu. La contrainte ne reli
pas la situation présente mais des types de situations, une situation
à fumée à une situation à feu. Puisque j'ai
passé du temps à parler du système numérique,
il est peut être instructif de mentionner a ce point, les similitudes
entre les types et les nombres naturels. 'Avoir trois éléments'est
une uniformité que les hommes ont appris à individualiser
à un age assez reculé.
Les ensembles peuvent être "typés" ou classifiés selon
qu'ils ont ou non trois éléments. Tout les ensembles à
trois éléments ont quelque chose en commun, l'uniformité
de la "troisièmetée". Une fois que cette uniformité
a été reconnue, le pas suivant est de formuler le concepte
concepte abstrait du 'nombre trois'. Un objet abstrait est "crée"
de manière à ce que il soit la chose que tout les ensembles
à trois élément aient en commun. Les types sont pratiquement
de même nature, seulement ils sont plus générales,
sur une échelle plus large. Et pour cause, avoir trois éléments
est seulement un cas particulier de type d'ensemble. Regarder un type comme
un objet est analogue à regarder un nombre comme un objet.
Les contraintes qui lient les types sont elles même des uniformités,
des régularités dans le monde, qu'un agent peut soit individualiser
cognitivement ou alors discriminer par son attitude. Elles sont clairement
du niveau d'abstraction juste supérieur à celui des types
qu'elles relient. Tandis que les types ont généralement accéptés
comme de simples objets pour les gens qui se pose le problème, la
contrainte elle semble n'être un objet vraiment définit qu'à
l'intérieur du domaine des scientifiques du cognitif. C'est une
situation analogue qu'avec celle de la différence entre les réels
et les complexes, les quels sont tout les deux mis sur le même plan
par les mathématiciens mais dont seul les premiers sont considérés
comme de simples nombres par le commun des mortels.
Les infons viennent dans le tableau, pas parceque les agents les individualisent forcéments, mais plutôt comme les outils tirés de notre théorie, une situation ayant quelques parallèles avec l'introduction des particules élémentaires en physique. Les types et les contraintes qui les relient semblent êtres une partie et une parcelle de la vie de tous les jours des agents cognitifs, qui font leur chemin dans le monde en ramassant et en agissant en fonction d'informations variées. Le monde n'opère pas de façon cyclique d'un moment à l'autre (en tous cas pas à notre échelle), mais montre pltôt pas mal de régularités, une régularité à la quelle l'agent devient habitué et même peut être conscient. Au dessus du niveau d'abstraction des objets individuels, des place, et des relations, il y a les types et les raiseaux de contraintes qui les relient. Tout ceci est sûrement 'là'. En tant que théoriciens nous n'"inventons" pas ces entités. Plutôt le seul geste que faisons est de leur accorder un statut objectif.
Mais les infons sont purement des outils de notre théorie. Une théorie mathématique de l'information demande quelques notions spécifiques d'un 'objet informel'ou un 'elements d'information'pour travailler avec. Il se peut ou non que l'agent cognitif fonctionne réellement en prenant l'"information" dans une forme "infonique", sacchant que c'est une thèse importante de ce travail que de dire que le concepte d'"élément d'information" ne semble pas être intuitif. L'information émerge par le biais d'une représentation et d'une contrainte. Une observation simple indique que des contraintes différentes permètent la même configuration du monde pour représenter des morceaux d'information différents, et que ces configurations différentes peuvent à travers des contraintes différentes, représenter le même morceau d'information. Pour manier une telle diversité, on introduit une notion théorique absolue d' "élément d'information",allias les infons. On fait cela de la ême manière que l'on a introduit les divers systèmes numériques en mathématique classique.
Ceci étant, un infon est définit comme une classe d'équivalence
d'un couple
Ce pocessus n'est pas plus circulaire que n'importe laquelle des constructions
des systèmes numériques décrient plutôt, et
pour cause les analogies sont bonnes. Exactement comme les nombres irrationnels
remplissent les 'trous infinitésimales'dans le système des
nombres rationnels que nous pouvons observer, et comme l'introduction des
nombres imaginaires aV-1, nous fournissent un système numérique
ayant plus de puissance d'expréssion que les réels, de la
même manière les infons fournissent l'objet qui résulte
de l'éffet combiné de la représentation et de la contrainte.
Et de la même manière que le mathématicien ayant finit
la construction sophistiqué, disons des réels, va vite s'attacher
à regarder les réels comme 'un objet atomique du style point',
au lieu de la structure mathématique complèxe qu'elle vient
juste de définir, de même notre théorie prend les infons
comme des objets complétement basiques--bien sûre comme un
des points de départ de notre théorie de l'information. Ainsi
par exemple, dans le développement des chapitres suivants, les divers
types et contraintes sont définis en utilisant des infons, exactement
l'opposé du procédé de dérivation précèdant.
Etant donné que l'on se bat pour que notre théorie est un
développement mathématique, et plus particulièrement
comme la théorie d'ensemble cette approche n'est pas abandonable.
Dans la théorie d'ensemble, une relation est une entité extensive
qui doit avoir un domaine de d'objets sur lesquels opérer: c'est
une relation entre objets, forcément il est prit souvant comme un
ensemble d'objets n-tuple ordonnés. Ainsi les objets précèdent
ontologiquement la relation.
Mais les relations que les agents individualisent et discriminent sont
essentielement intensionnels, et peuvent être regard\351s comme conduisant
eux-mêmes aux "objets"qu'ils représentes. Ainsi les types
et les contraintes émergent par les vertues des attitudes cognitives
des agents , comme le font certaine relation d'équivalences que
nous avons trouvé pratiques pour decrire comme donnant le même
'élément d'information', et cela conduisant à traiter
comme objet un nouvelle réalité des objets abstraits du théoricien
que nous appelons 'infon'.
C'est le sens dans le quel je vois l'infons comme "existant". Ainsi les
infons sont des objets sémantiques à l'intérieur du
canevas de notre théorie. Ceci étant, leurs statuts est le
même que, disons les réels dans les maths. Cela leur donne
une nature absolue, indépendante de la représentation. Leurs
statuts en tant qu'objets abstraits à l'intérieur de notre
théorie n'excluent pas leurs correspondaces aux abstarctions reconnuent
par les agents dans le monde. Forcément, je sens qu'il y a une forte
intuition d'un "élément" d'information" qui correspond de
près à la notion d'un infon. Mais l'actuelle théorie
n'a pas besoins de se rapprocher d'une telle vue. Et pour cause, étant
donné le floue inhérent à notre usage courant du mot
'information', il semble peu probable qu'aucune définition formelle
puisse remplir tout le monde.
Notez que leurs statuts "d'objets abstraits"ne signifient pas que les infons
aient une sorte d'existance physique. être un objet intentionnel
abstrait n'est pas la même chose que de faire partie du monde physique.
Les nombres sont des objets abstraits dans le monde, qu'ils soient positifs,
négatifs ou complèxes. Le nombre trois est un objet abstrait
particulier dans le monde. Il ne dépend pas de sa représentation.
Les infons, je le maintient,sont dans ce sens entièrement similaires.
Comme objets abstraits, les infons peuvent être considérés
autant comme faisant partie du monde que les nombres. Assez réels
ils sont une haute partie abstraite de notre monde. Mais alors de même
est la notion d'information elle-même, et dans la première
place.