Dans les profondeurs de l'abîme inconnu


Dans l'obscurité profonde où l'inconnu s'étend,
L'âme s'éveille, un lyrisme pur, ardent,
Un voyage sacré où les mystères s'épanouissent,
Le poète aspire au divin, où les étoiles luisent.

Derrière le voile des cieux, la vérité se révèle,
Infinité cosmique, la création, merveille éternelle,
Dans le mystère profond, l'âme et l'Un s'entrelacent,
L'âme s'élève, en fusion céleste, où les temps s'effacent.

La vie, la mort, mystères sacrés et quête d'espérance,
Mort, grande inconnue, seuil vers la divine transcendance,
Un questionnement qui élève, en quête de l'absolu pur,
La rivière silencieuse, où l'amour divin perdure.

Horizons de l'au-delà, des cieux à l'infini, quête éternelle,
L'âme s'élève vers la Lumière, en elle, réelle,
Quête d'existence réelle, la véritable révélation,
À la recherche de la vie, l'adoration, l'élévation.

Forces surnaturelles, invisibles, puissantes, en danse sacrée,
Dans l'ombre, elles se meuvent, divinement inspirées,
Sens les effleurent, leurs mystères, notre âme imprègnent,
Leur présence divine, douce harmonie, nos âmes les rejoignent.

Au-delà de la peur, dans l'extase, l'âme s'abandonne,
Vers l'inconnu divin, nos âmes, fusionnent, se donnent,
L'inconnu devient source d'une adoration éternelle,
Dans l'immense théâtre des âmes, une symphonie réelle.

Le voile de l'inconnu se déchire, douce révélation,
Beauté de la quête spirituelle, profonde méditation,
Dans la danse des mystères, nos cœurs s'épanouissent en prière,
À la recherche de vérités, nos esprits, s'élèvent, en lumière.

Ainsi, dans ce chant, l'âme fusionne avec l'inconnu
Dans l'obscurité, nos vies s'élancent, aventure accrue,
Naviguent l'infini, confiance en nos cœurs en fête,
Sens au-delà des horizons, l'amour divin, notre quête.

 

 


Dans les profondeurs de l'abîme inconnu, l'âme s'éveille, telle une énigme sacrée qui attend d'être déchiffrée. Nous, humbles explorateurs de l'existence, nous aventurons dans l'obscurité, semblables à des étoiles filantes dans la nuit sans fin. Les vers, à la manière des éclats d'un miroir brisé, reflètent nos questions sans réponses.

La peur de l'inconnu, cette ombre inquiétante qui nous suit, se dresse comme une muraille infranchissable. Devant elle, nous nous tenons, semblables à des sentinelles solitaires face à l'horreur, à la mort et à la promesse d'une autre vie.

Pourtant, au cœur du mystère, une lumière vacillante perce les ténèbres, une quête sacrée de vérité transcendante. Les forces surnaturelles, invisibles et énigmatiques, planent telles des brises nocturnes, effleurant nos esprits comme des murmures célestes.

Au-delà de la peur, nous sommes guidés vers les contrées éloignées de l'âme, où l'inconnu se dévoile comme un conte épique. Le voile qui dissimule la réalité se déchire, révélant une beauté mystérieuse, une quête éternelle.

Dans la danse des mystères, nous devenons les vœux, les mots silencieux d'une prière sans fin. À la recherche d'une vérité qui se cache dans les replis de l'univers, dans les ombres des questions sans réponse.

Ainsi, dans cette énigme, nous contemplons l'inconnu, nous égarons nos pensées dans l'obscurité, cherchant l'essence de la vie après la mort et la présence de forces insaisissables. Au cœur du mysticisme, une étreinte de confiance nous enveloppe, car dans le silence des énigmes, nous découvrons la musique sacrée de notre existence.

 


Ô toi, qui cherches à te transcender,
Écoute mon chant prophétique !

L'inconnu, est là,
Au-delà de la raison,
Dans l'ombre de l'éternité,
Il nous guette, menace, et fait peur.

Nous ne savons pas,
Ce qu'il est, ce qu'il veut,
En cela, il nous terrifie.

La peur de l'inconnu, si ancestrale,
Qu'elle remonte aux origines de l'humanité,
Et renvoie à notre condition d'êtres limités.

Elle nous paralyse, nous empêche d'avancer,
Nous renferme sur nous-mêmes,
Sur nos certitudes, nos préjugés.

La peur de l'inconnu nous limite,
Empêche d'être pleinement nous-mêmes.
Mais elle est peut secouer si fort,
Qu'elle incite à explorer,
À découvrir, à apprendre dans l'urgence,
À affronter notre basse condition,
À aller au-delà de nous-mêmes.

C'est aussi une émotion qui renforce,
Qui nous permet de nous grandir.
Mais au-delà de la peur, il y a la stupeur,
L'effroi de la révélation, de la découverte, de la vérité.

L'inconnu, c'est aussi le chaos, la destruction,
C'est aussi l'horreur, l'innommable.
C'est la face cachée d'une réalité,
La face sombre d'un univers,
La face qui nous dépasse et qui terrifie.
La face qui nous fascine et qui attire.
La face qui nous rend vivants.
C'est aussi cette part de l'irrationnel.

***

L'ignorance est la mère de la peur.
Nous ne connaissons pas l'inconnu,
Et c'est cela que nous craignons.

Nous ne savons pas ce qui se cache dans l'ombre,
Et c'est cela qui nous terrifie.

Nous ne savons pas ce que l'avenir nous réserve,
Et c'est cela qui nous angoisse.

L'ignorance est la source des frayeurs,
Car elle nous confronte à l'incertitude.

***

La peur est une émotion puissante,
Qui peut nous paralyser ou nous motiver.

Elle peut nous pousser à fuir,
Ou à affronter nos limites.

Elle peut nous rendre plus forts,
Ou nous détruire.

La peur est une émotion ambivalente,
Avec ses impacts positifs ou négatifs.

***

L'homme est une créature irrationnelle,
Souvent guidée par ses peurs.

Nous avons peur,
De ce que nous ne connaissons pas,
De ce que nous ne comprenons pas.

Nous avons peur de l'échec,
Nous avons peur de souffrir,
Nous avons peur de la mort.

La somme des peurs mène à la folie,
À la guerre, la violence et la haine.

***

L'inconnu est source d'angoisse,
Et nous confronte à l'aberration, à la déraison.

Mais l'inconnu est aussi une source de possibilités,
Et nous pousse à explorer, à découvrir.

Il nous appartient de choisir, d'apprendre, de comprendre,
Comment nous allons réagir en face de l'inconnu.

Nous pouvons choisir d'être paralysés par la peur,
Ou nous pouvons choisir de l'accepter, de l'affronter.

Nous pouvons choisir de nous laisser guider par nos peurs,
Ou nous pouvons choisir de les dépasser.

La décision nous appartient.