IN THE MOUTH OF MADNESS



We understand games you play,
If you look and listen closely,
Insanity can be found, it spreads.
It's now a battleground,
Humans like to play, to run and laugh,
Even now as your planet dies.

We send you a knowledge,
But you refuse to share it in peace.
Your madness is blindfold that covers your eyes,
You aren’t the first ones we contact,
Who walk blinded on their dying ground,
And who forget the beauty of Moon.

We can tell the sound of silence,
We can connect the pale blue dots,
We talk to nature and listen to life,
Our origin is not a closed book.
Nothing will prevent our realities,
We are not here for nothing !

***

The quorum send a beast so great,
Bellowing out with its infernal breath,
Able to spew fire from invisible jaws,
With claws to tear your soul apart.
At first glance the world must continue,
Until humanity meets this unknow.

If my eyes were to never see,
A world that survives collapse,
Would i be proud of all i have done ?
Yet my lips refuse to form words,
My dream locked in a loop,
Waiting for release of soul.

I stepping onto a silent and bare theatre,
Snapping fingers to show three doors,
A dark place banned from Light and mercy,
A show all the rage for their loudest moan approval,
Then their cries, that opens door three.
From their teeming islands, they want more bloody gore !
 



Nous comprenons les jeux auxquels vous jouez,
Si vous regardez et écoutez attentivement,
La folie peut être trouvée, elle se propage.
C'est maintenant un champ de bataille,
Les humains aiment jouer, courir et rire,
Même maintenant que votre planète meurt.

Nous vous avons envoyé un savoir,
Mais vous refusez de le partager en paix.
Votre folie est un bandeau qui couvre vos yeux,
Vous n'êtes pas les premiers que nous contactons,
Qui marchent aveuglés sur leur sol mourant,
Et qui oublient la beauté de la lune.

Nous pouvons dire le son du silence,
Nous pouvons relier les points bleus pâles,
Nous parlons à la nature et écoutons la vie,
Notre origine n'est pas un livre fermé.
Rien n'empêchera nos réalités,
Nous ne sommes pas là pour rien !

***

Le quorum envoie une bête si grande,
Mugissant avec son souffle infernal,
Capable de cracher le feu par des mâchoires invisibles,
Avec des griffes pour déchirer votre âme.
À première vue, le monde doit continuer,
Jusqu'à ce que l'humanité rencontre cet inconnu.

Si mes yeux ne devaient jamais voir,
Un monde qui survit à l'effondrement,
Serais-je fier de tout ce que j'ai fait ?
Pourtant, mes lèvres refusent de former des mots,
Mon rêve enfermé dans une boucle,
En attente de la libération de l'âme.

Je marche sur un théâtre silencieux et nu,
Un endroit sombre banni de la lumière et de la miséricorde,
En claquant des doigts pour montrer trois portes,
Un spectacle qui fait fureur pour leur approbation la plus bruyante,
Puis leurs cris, cela ouvre la troisième porte.
De leurs îles grouillantes, ils veulent plus de sang !