Des nouvelles de Ram Bahadur Bomjon, le petit Bouddha.


Le nouveau bouddha est il en train de méditer ?

mardi 28 février 2006
Assis en position du lotus sous un arbre, un adolescent népalais, présenté par ses adorateurs comme méditant depuis six mois sans boire ni manger, a suscité dévotion en masse et interrogations des autorités sur celui que certains qualifient de réincarnation du bouddha. Des dizaines de milliers de bouddhistes, curieux et dévots, sont déjà allés voir, dans le sud-est du Népal, l'adolescent de 15 ans, qui médite assis sous un Figuier banian, les yeux clos, comme le fit le fondateur du bouddhisme Siddhartha Gautama, il y 2.500 ans.

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Les autorités ont annoncé lundi qu'elles allaient enquêter sur Ram Bahadur Bomjon, qui selon ses adorateurs n'a pas bougé depuis qu'il a commencé sa méditation. "Beaucoup croient en lui mais certains pensent que c'est trop incroyable", a expliqué Shanta Raj Subedi, le chef du district de Bara situé à 150 km au sud-est de Katmandou. "Parce que cela est lié à la religion, nous devons établir la vérité avant de faire quoi que ce soit", a-t-il ajouté.

Le responsable a demandé au ministère de l'Intérieur et à l'Académie royale des sciences et technologies de se renseigner sur l'adolescent. "Nous essayons aussi de faire venir des lamas (enseignants) des monastères bouddhistes pour examiner cela", a poursuivi M. Subedi. Quoi qu'il en soit de la vérité, l'adolescent a déjà un fort impact dans le le petit royaume himalayen, où 5% de la population de près de 25 millions d'habitants est bouddhiste, avec des curieux et dévots ne cessant de venir près du site, achetant CD et photographies officielles.

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"Je me suis sentie très bien, très heureuse et calme quand je suis allée sur le lieu où le jeune homme médite", a raconté à l'AFP Padma Kamal qui s'est rendue à Bara samedi. "Nous avons entendu dire que des gens dotés de pouvoirs spéciaux pouvaient méditer pendant de longues périodes sans nourriture ni boisson", a-t-elle ajouté. Les visiteurs sont maintenus à une distance de 60 mètres de l'adolescent et ne sont pas autorisés à prendre eux-mêmes des photographies, selon les témoins.

Des médecins interrogés sur la possibilité d'un jeûne total de six mois ont affirmé que dans ces conditions la survie était peu probable au-delà de quelques semaines. "Normalement, on peut rester vivant sans nourriture ni eau pendant moins d'un mois", a dit le docteur Khagendra Bahadur Shrestha de Katmandou. Govinda Chitrakar, le secrétaire général de l'organisation bouddhiste Lumbini Development Trust, a indiqué qu'il se rendrait la semaine prochaine à Bara. Lumbini est le lieu de naissance du fondateur du bouddhiste, près de la frontière avec l'Inde.

De naissance princière, Siddhartha Gautama avait abandonné à 29 ans plaisirs et luxe pour partir à la recherche de l'"éveil" au-delà de son royaume. Après l'enseignement de ses maîtres puis six années d'austérité, il développa la concentration et la pratique de la méditation et finit par atteindre cet "éveil" et le contentement absolu en surmontant la souffrance après avoir extirpé de lui le désir, l'avidité, l'ignorance et les préjugés, selon les textes bouddhistes.

Source : AFP


Des nouvelles de Ram Bahadur Bomjon
"Little Bouddha" ou "Nouveau Bouddha"
25.02.2006

Ram Bahadur Bomjon, âgé maintenant de 16 ans, est en méditation depuis 8 mois. Par rapport à la photo de l'article précédent prise au cours du deuxième mois, ses cheveux et ses ongles ont poussé, son corps a légèrement maigri, se couvrant d'une fine couche de poussière.

Alors qu'une vague de froid s'est abattue sur le Népal, le jeune homme ne semble pas en être affecté. Même en cette saison hivernale, il médite continuellement, simplement vêtu d'une pièce de tissu. "Il ne sent pas le froid, même en cette période d'hiver" explique le lama Prem, cousin de Ram Bahadur Bomjon. "Il est en unité avec Dieu" dit sa mère qui précise que son fils était différent des autres enfants, refusant de manger de la viande ou de boire de l'alcool. De même, il ne s'est jamais battu avec personne et avait le goût de la solitude.

De nombreux habitants des villages voisins se sont portés volontaires pour organiser le lieu de méditation et protéger la tranquilité de Ram Bahadur Bomjon du flot des visiteurs qui ne peuvent accéder au site que par groupes de 14 personnes.

Les autorités népalaises tentent par ailleurs de limiter les visites pour d'autres raisons. Le pays connaît depuis plusieurs années des affrontements entre les forces gouvernementales et des rebelles maoïstes, et les responsables locaux craignent que la manne financière apportée par la vente de photos et de vidéos bénéficie en grande partie aux rebelles, ce que dément l'organisation des lamas et villageois qui gèrent le site.

A l'initiative des autorités locales, une équipe de 8 médecins conduits par le Dr Ramlakhan Sah, directeur de l'hôpital du district, sont venus observer le méditant à une distance de 5 mètres. "En une demi-heure, il a inhalé 3 fois, avalé sa salive une fois, et remué les paupières une fois" indique le Dr Sah qui ajoute que même si le jeune homme mangeait pendant la nuit comme des septiques le supposent, il est de toute façon extraordinaire de pouvoir rester assis dans la même position pendant 12 heures d'affilée. Le Dr Sah pense qu'une investigation plus poussée serait nécessaire pour que l'expérience constitue une remise en question des connaissances médicales établies. Seule une prise de sang pour mesurer le taux de glucose permettrait de confirmer ou de démentir une éventuelle absorption de nourriture. Mais le comité qui protège le méditant s'oppose formellement à tout examen qui nécessiterait de toucher le jeune homme et troublerait ainsi gravement le cours de sa méditation.

Un lama enseignant au monastère de Pharping, Hyayalu Ringpoche (un proche du Dalai Lama), est également venu observer le jeune méditant. Ayant lui aussi pratiqué une méditation pendant 6 ans (mais sans jeûne), il indique que la méditation est un phénomène normal pour les Bouddhistes, mais qu'il est encore trop tôt pour appeler le jeune homme "Bouddha". Ram Bahadur Bomjon lui-même avait demandé avant de commencer sa méditation à ne pas être appelé ainsi, précisant qu'il aspirait simplement à devenir "bodhisattva" (stade d'éveil qui précède l'état de Bouddha ou d'éveil total).

En attendant, de nombreux médias internationaux se sont déplacés: la BBC, de Daily Telegraph, la chaine de TV France 2, Star News, ou CNN.

Article publié par Isabelle Alexandrine Bourgeois le 25.02.2006


Népal
Mais où est passé le petit Bouddha ?

16/03/06
Source : http://www.liberation.fr/page.php?Article=367421

Où est Ram Bahadur Bomzon ? Depuis samedi matin, villageois et policiers sont en train de passer le sud-est du Népal au peigne fin dans l'espoir de retrouver la trace de cet adolescent de 16 ans que beaucoup considèrent comme une réincarnation du Bouddha, disparu il y a 2 500 ans. Les yeux mi-clos, assis en position du lotus et vêtu d'une simple toge blanche, le garçon méditait en effet sous un arbre depuis le 16 mai 2005. Prétendument sans boire, ni manger, ni bouger. Pèlerins ou simples curieux, des centaines de personnes déferlaient chaque jour des quatre coins du royaume pour le voir, marchant pieds nus sur la route en terre qui serpente dans la forêt décorée de milliers de drapeaux bouddhistes pour rejoindre le figuier peepal sous lequel il s'était installé.

Depuis six jours, celui qui a hérité du surnom de «petit Bouddha» est cependant introuvable. A-t-il tenté de trouver un site plus tranquille pour poursuivre sa méditation loin des regards ? A-t-il au contraire décidé de disparaître avant d'être découvert comme imposteur ? Les autorités locales enquêtent, tout en démentant les rumeurs qui circulent sur un éventuel enlèvement. Cette disparition constitue néanmoins un rebondissement inattendu dans la saga qui tient le Népal en haleine depuis maintenant dix mois. D'autant que, selon son cousin et unique ami d'enfance, Prem Lama, Ram Bahadur Bomzon aurait affirmé lors d'une de ses rares prises de parole ­ quatre en tout ­ qu'il «ne s'arrêterait pas de méditer avant six ans, comme le Bouddha». Né dans une famille royale en 560 avant notre ère, Siddharta Gautama avait abandonné à 29 ans sa vie de luxe et de plaisirs pour partir à la recherche de «l'éveil» hors de son royaume. Il aurait ensuite passé six années à pratiquer la méditation à Bodh Gaya, dans le nord de l'Inde, avant de parvenir à atteindre cet état de contentement absolu, devenant ainsi le Bouddha. L'histoire veut que sa plus longue médiation austère (sans s'alimenter, ni boire) durât quarante-neuf jours. Après quoi, il y renonça pour méditer parmi les hommes et la nature.

«Il a dit qu'il méditait pour la paix dans le monde, mais il ne veut pas qu'on le compare au Bouddha, car il doit encore progresser pour atteindre son niveau», poursuit Prem Lama, qui soutient également que «chacune de ses interventions est accompagnée d'événements surnaturels». La dernière fois, le 18 janvier, il aurait ainsi parlé pour réclamer de nouveaux vêtements après que sa toge a subitement pris feu, sans pour autant lui brûler la peau... L'histoire veut aussi que le garçon ait déjà survécu à deux morsures de cobra, pourtant mortelles. Et surtout qu'il soit en parfaite santé, alors qu'il était censé ne pas s'alimenter.

Réincarnation et phénomènes surnaturels

Dans cette région du monde où chacun croit à la réincarnation et aux phénomènes surnaturels, le doute, cependant, subsiste. Au Népal, comme en Inde, où tout le monde se doit d'avoir un gourou et de parcourir régulièrement des centaines de kilomètres en pèlerinage, de telles histoires sont d'ailleurs courantes. Elles ne convainquent toutefois que les foules analphabètes, et encore.

Cette fois-ci, certains scientifiques se refusent à dénoncer d'emblée un imposteur. «Nous ne pouvons pas nous prononcer sans effectuer des tests médicaux, or, pour des questions éthiques et religieuses, il faudrait que l'intéressé nous donne sa permission, ce qui est impossible tant qu'il ne parle pas, affirmait ainsi le biologiste Dinesh Bhuju, de l'Académie royale des sciences et technologies, à Katmandou, avant la disparition de ce week-end. Evidemment, vivre aussi longtemps sans boire ni manger est a priori impossible mais, après tout, on pensait aussi que gravir l'Everest sans oxygène était impossible, or certains y parviennent.»

Les cheveux sales sur le visage, les ongles anormalement longs, Ram Bahadur Bomzon avait certes maigri mais ne semblait pas particulièrement affaibli avant sa disparition. Et, jusqu'à samedi dernier, sa présence, tous les jours au même endroit, était incontestable : chacun pouvait le vérifier, du moins à distance puisque le comité de villageois qui l'entoure empêchait les pèlerins de s'approcher de trop près, afin de ne pas troubler sa méditation. En revanche, à la nuit tombée, il était à sa demande laissé seul, d'où un gros doute sur ses activités nocturnes. Une chaîne de télévision a eu l'autorisation de rester à ses côtés quarante-huit heures d'affilée, et a affirmé qu'il n'avait pas bougé d'un pouce.

Lorsque Libération a visité le site, fin janvier, les avis restaient néanmoins partagés parmi les visiteurs qui se pressaient en silence derrière les barrières en bois érigées en cercle tout autour de lui. «Pourquoi ne peut-on pas l'approcher de plus près ? Ce pourrait être une statue qu'on ne ferait pas la différence !», s'indignait un paysan qui avait parcouru 300 kilomètres en bus pour en avoir le coeur net. «Je suis sûr que c'est vrai, je me suis senti apaisé rien qu'en le voyant», soutenait un autre, les mains jointes en signe de respect. Un jeune moinillon arrivé avec des offrandes était lui plus dubitatif : «Moi, je ne pourrais jamais méditer avec autant de monde autour, je me demande comment il fait pour garder sa concentration.» «Même s'il mange, boit et danse la nuit, le fait de passer tout l'hiver dehors alors qu'il n'est quasiment pas couvert est en soi exceptionnel. Cela mérite le respect», estimait pour sa part un étudiant en ingénierie venu avec des amis pour le week-end.

Des fugues à répétition

Les théologiens, aussi, débattent. «Le bouddhisme, comme l'hindouisme, considère que ce genre de choses est possible chez ceux qui atteignent un niveau de contrôle total sur leur corps et leur esprit, résume Laxman Shakya, professeur d'histoire et de littérature bouddhistes à l'université de Tribhuvan, à Katmandou. Mais cela ne s'est jamais vu depuis le Bouddha lui-même, or son histoire a été en partie réécrite a posteriori.» Comme beaucoup d'autres, l'universitaire estime toutefois que le garçon «possède clairement une capacité rare pour la méditation, surtout pour son âge. Je pense qu'il doit être la réincarnation d'un grand lama (moine bouddhiste, ndlr), pas forcément du Bouddha».

Originaire du petit village de Ratnapura, un hameau perdu dans les rizières, à proximité de la forêt où il s'est installé, Ram Bahadur Bomzon est issu d'une famille de pauvres paysans. Elevé avec ses six frères et soeurs, il a quitté l'école après le CM1 et n'a pas reçu d'éducation religieuse poussée. Dès l'enfance, cependant, il aurait été «à part», explique sa mère qui, heureux hasard, porte le même nom que la mère du Bouddha ­ Maya Devi. Occupée à traire les vaches derrière la ferme familiale, elle raconte ainsi comment «depuis l'âge de 4 ou 5 ans, il a toujours refusé de manger s'il n'était pas servi le premier, et il n'a jamais voulu avaler de viande». «Petit, il refusait aussi de se battre, même quand les autres enfants lui tapaient dessus. Et puis il semblait toujours plus à l'aise avec les moines qu'avec nous, sa propre famille. C'était très étrange.»

Ses fugues à répétition, aussi, restent inexpliquées, surtout dans un environnement rural où tout tourne autour de la vie en communauté. «Les villageois le considéraient un peu comme un fou, car il disparaissait régulièrement pendant plusieurs jours, et ne voulait jamais dire où il avait été, explique l'un de ses frères. Maintenant, on se dit qu'il devait méditer mais, sincèrement, on n'en sait rien.» Toujours est-il que Ram Bahadur Bomzon s'est lancé dans sa longue méditation après une fugue d'un an, au cours de laquelle il aurait séjourné à Lumbini, le lieu de naissance du Bouddha, puis en Inde.

Dans un pays en pleine crise politique, où dix ans de guerre entre l'Etat et la rébellion maoïste ont déjà fait plus de 13 000 morts, cette histoire divine offre une distraction bienvenue. Une lueur d'espoir, aussi, car Bomzon aurait affirmé que «la paix reviendra au Népal d'ici à six ans». La plupart des visiteurs, non bouddhistes puisque les Népalais sont à 95 % hindous, affirmaient d'ailleurs venir «en quête de paix». «Peu importe que ce soit vrai, ce garçon nous fait au moins espérer qu'il y a quelque chose à chercher en dehors de ce monde qui va si mal», philosophe Ram Yadav, un instituteur qui, comme beaucoup d'autres, était reparti de sa visite «sans savoir à quoi s'en tenir».

L'attitude des villageois des environs est moins louable. Ceux-ci ont en effet trouvé avec Bomzon un merveilleux filon, comme en témoigne la multitude d'échoppes sorties de terre sur la route qui menait à lui. Ce genre de business est toutefois courant dans tous les lieux de pèlerinage du sous-continent. Mais le comité qui «protégeait» le garçon est néanmoins suspect. Composé de dix-huit personnes, il est seul habilité à vendre sa photo, et encaisse les offrandes en liquide, qui atteignent des proportions colossales puisque le petit Bouddha a déjà attiré plus de 150 000 visiteurs, selon les estimations. L'argent a certes été en partie utilisé pour construire les infrastructures destinées à faciliter les visites, mais les membres du comité tiennent pour autant des discours incohérents, et les messes basses en dialecte local se multiplient dès que l'on commence à poser des questions dérangeantes.

Une légende lucrative

Leurs propos contredisent surtout les informations contenues dans le petit prospectus qu'ils vendent, comme s'ils alimentaient la légende au fur et à mesure. A en croire ce fascicule, écrit dans un anglais approximatif, Bomzon aurait notamment parlé à ses frères et soeurs à plusieurs reprises au début de sa quête spirituelle, et pas seulement quatre fois en tout. Le comité obligeait également les véhicules à s'arrêter 2 kilomètres avant le «site sacré», contraignant ainsi les pèlerins à poursuivre à pied afin qu'ils puissent acheter en route quelques offrandes, bâtons d'encens ou photos du méditatif.

Si la région a manifestement beaucoup gagné grâce à Bomzon, sa famille ne semble pas avoir bénéficié de sa nouvelle renommée. Ses parents et ses six frères et soeurs habitent toujours dans la même fermette traditionnelle, s'occupant des champs et des bêtes dans des conditions moyenâgeuses. Et sa mère, une paysanne analphabète, paraît totalement dépassée par les événements.

Alors, coup monté ou manifestation divine ? Personne, au Népal, ne veut trancher. Maintenant qu'il a disparu, Ram Bahadur Bomzon est en tout cas devenu un sujet d'importance nationale. «Sa disparition est une catastrophe, nous n'avons pas été capables de le protéger, s'indigne l'universitaire Laxman Shakya. Il faut à tout prix le retrouver, sinon nous ne saurons jamais qui il était vraiment.»


Le petit Bouddha est réapparu
21/03/2006
http://www.advalvas.be/fr/index.php?option=content&task=view&id=3740&Itemid=

Les proches du « petit Bouddha » affirment avoir retrouvé sa trace dimanche à à peine trois kilomètres au sud de l'arbre sous lequel il était resté en méditation pendant dix mois en pleine forêt. Il leur aurait parlé.

Dix mois sans bouger, manger et boire
Ram Bahadur Banjan avait en effet quitté mystérieusement son lieu de méditation début mars alors que la légende locale prétendait qu'il était resté assis dans la position du lotus, sans manger ni boire, depuis dix longs mois. On avait alors cru à un enlèvement par l'une des factions communistes actives dans la région. Il n'en serait apparemment rien, selon les proches de Ram Banjan qui géraient jusqu'à sa disparition les abord de son arbre de méditation pour écarter la foule de pèlerins qui venait chaque jour prier devant celui que l'on prétendait le Bouddha réincarné.

« Pas assez calme »
Las proches de Ram Banjan affirment avoir parlé pendant une heure et demi avec l'adolescent. Il leur aurait dit « je suis parti parce qu'il n'y a pas de calme ici... Dites à mes parents de ne pas s'inquiéter. » Le petit Bouddha aurait ensuite dit qu'il reviendrait dans six ans et en attendant, il a demandé que des moines viennent prier là où il a tenu sa méditation de dix mois. Une vidéo aurait été tournée à cette occasion. Vous pouvez la visionner sur le site de la BBC ici.
http://news.bbc.co.uk/2/hi/south_asia/4824530.stm


Références documentaires :